Dans la situation de crise actuelle, une humanité inconsciente et arrogante se gargarise de belles paroles plutôt que de se repentir de ses erreurs et de crier au secours d'une instance supérieure qu'elle a rejetée depuis belle lurette!
Une étude approfondie et systématique du Saint-Esprit, à travers les Ecritures : la personne de Dieu, tri-unité, les aptitudes du Saint-Esprit, ses noms, ses œuvres avant et après la Pentecôte, les conditions requises pour le recevoir, des questions-réponses à son sujet...
C'est par la foi qu'on devient juste et c'est également par la foi que l'on demeure dans cette position. C'est ainsi que pourrait se résumer le message simple et profond de cette étude.
Le futurisme, puis dispensationalisme, émana du pape et des jésuites au XVIe siècle, prétendant que la 70e semaine de Daniel était une période de sept années de «grande tribulation» démarrant à la fin des temps, ceci dans le but de prouver que l'Antéchrist était à venir, et ne pouvait par conséquent pas être le pape. La redécouverte de l'histoire quasi éradiquée de l'Eglise fidèle de l'an 100 à 1500 démontre la fausseté de l'argument selon lequel l'institution romaine serait la seule église, dès le commencement face à des soi-disant mouvements rebelles plus tardifs tels que la Réforme...
Quels faux dieux avons-nous craints? Une interpellation tirée de Juges 6 : 1 et 10 : «Les enfants d’Israël firent ce qui déplaît à l’Eternel; et l’Eternel les livra entre les mains de Madian, pendant sept ans. Je suis l’Eternel, votre Dieu; vous ne craindrez point les dieux des Amoréens, dans le pays desquels vous habitez. Mais vous n’avez point écouté ma voix.»
Selon la Bible, le chrétien a-t-il le droit de maudire, la maladie, par exemple? Est-il approprié de se baser sur la parabole du figuier maudit pour justifier le fait de maudire un méfait? Cette étude approfondie clarifie notre rôle face à la bénédiction et à la malédiction.
Tout, dans le royaume de Dieu, est une action du Saint-Esprit. Si nous constatons un déficit, c’est par l’Esprit que les choses doivent changer. Vouloir le faire par des moyens humains est voué à l’échec. Pour cela, tout notre être doit être saturé de l’Esprit et continuellement rempli de la présence de Dieu.
L’abandon d’une persévérance minimale serait mortel et tragique, pour le peuple de Dieu, car le détournement massif de toute une génération de «chrétiens» de la Parole de Dieu et du message prophétique est en route depuis des années.
L’évènement central pour le croyant attentif est le retour du Maître. Observer les préceptes relevés en I Thess. 5 : 12-22 fait participer à la sanctification voulue par Dieu, en vue du jour de son avènement («parousia») – Héb. 12 : 14. Celui qui ne le fait pas restera sur terre...
Quand Jésus dit à ses disciples que leur justice devrait surpasser celle des religieux, il mentionne plus qu’une seule orthodoxie légaliste poussée à l’extrême. Il interpelle ses auditeurs-disciples sur l’heure fantastique qu’ils sont en train de vivre, par un enseignement sur un monde parallèle : le royaume de Dieu.
Conscients qu'ils sont en transit sur cette terre, les bien-aimés du Seigneur n'ont pas comme priorité de s'y installer dans leurs aises, mais de promouvoir le Royaume de Dieu et de préparer un terrain favorable à une future visitation (et non à un hypothétique réveil pour rêveurs).
Le chrétien honnête doit reconnaître que le territoire et les réalités que devraient être l’Eglise de Jésus-Christ sur cette terre sont en pleine crise existentielle et identitaire.
Le concept de santé selon Dieu comprend d’une part un fonctionnement modèle et idéal selon les attributs édéniques, et d'autre part des mécanismes de restauration en cas de disfonctionnement.
C'est la «nécessité des faits», appuyés par le critère de réfutabilité, qui constitue la science. Ainsi, le véritable scientifique prend inévitablement le parti de l’esprit critique et de la recherche de l’authenticité de l’information.
La justice, la paix et la joie, actives sur le territoire du Royaume de Dieu, induisent par le Saint-Esprit la manifestation de la puissance d’en haut.