Les origines troublantes de la Saint-Valentin

Les origines païennes et moralement perverses de la Saint-Valentin (les Lupercales) devraient convaincre les plus réticents de la fêter l'an prochain...
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Les origines troublantes de la Saint-Valentin

Introduction

Ne pouvant nous identifier avec l’intégralité des orientations de l’auteur, nous vous proposons ci-après une synthèse adaptée d’un article très intéressant et bien documenté sur ce thème. – APV-NN

 

(…) En tant que chrétiens, pouvons-nous nous identifier à cette fête? Pour répondre à cette question, penchons-nous sur ses origines…

 

L’histoire de la Saint-Valentin

Tout comme Noël, Pâques, Halloween, le jour de l’An et autres fêtes de ce monde, la Saint-Valentin est une autre tentative de camouflage de coutumes et d’observances païennes et ido­lâtres découlant d’une soi-disant christianisation.

 

Aussi innocente et inoffensive que cette fête puisse paraître, ses traditions et coutumes proviennent des deux festivals païens les plus sexuellement pervertis de l’histoire ancienne : les Lupercales et la fête de Juno Februata.

 

Les Lupercales (aussi connues en tant que fête de licence sexuelle) étaient célébrées le 15 février et observées par les anciens Romains en l’honneur de Lupercus, le dieu de la fertilité et de l’agriculture, le protecteur des troupeaux et des récoltes et grand chasseur de loups. Les Romains croyaient que Lupercus protégerait Rome des meutes de loups qui dévoraient le bétail et les gens.

 

Assistés par les vestales[1], les luperques (les prêtres mâles) observaient les rites de purification en sacri­fiant des chèvres et un chien dans la caverne du Palatin, là où les Romains croyaient que Romulus et Rémus avaient été abrités par la louve qui les avait nourris avant qu’ils ne fondent Rome. Habillés de pagnes de peau de chèvres sacrifiées tachés de sang, les luperques parcouraient Rome frappant les femmes avec des februa, des courroies faites des peaux de chèvres. Ils croyaient que ces flagellations purifiaient les femmes et leur garantissaient la fertilité et l’aisance lors de l’accouchement. Le mot «février» dérive de februa, qui signifie «purifi­cation».

 

Pour les Romains, février était aussi consacré à Junon Februata, la déesse de febris (fièvre de l’amour), des femmes et du mariage. Le 14 février, des billets (petites pièces de papier sur lesquels était écrit le nom d’une adolescente) étaient mis dans un récipient. Des adolescents en choisissaient un au hasard. Le garçon et la jeune fille dont les noms avaient été choisis formaient alors un couple lors de jeux érotiques et de fêtes qui étaient célébrées partout dans Rome. Après la fête, ils demeuraient des partenaires sexuels pour le reste de l’année. Cette coutume a été observée dans l’Empire romain pendant des siècles.

 

Le blanchiment des perversions

En 494 apr. J.-C., le pape Gélase Ier a rebaptisé la fête de Juno Februata en l’appelant la fête de la Purification de la vierge Marie. Elle est aussi connue sous le nom de Chandeleur, de fête de la Présentation (…) ou de fête de la Présentation de Jésus au Temple.

 

Après que Constantin eût fait de la religion romaine le christia­nisme officiel de l’Empire romain (325 apr. J.-C.), les dirigeants de l’institution romaine voulurent se débarrasser des fêtes païennes observées par le peuple. Parmi elles, les Lupercales étaient une priorité. Toutefois, les citoyens romains y étaient très attachés et ce ne fut pas avant 496 apr. J.-C. que l’église de Rome put agir sur cette fête. Ne pouvant s’en débarrasser, le pape Gélase en changea la date au 14 février et l’appela la Saint-Valentin. Elle fut plus tard déplacée au 2 février. Cette fête tire son nom d’un des saints de l’église qui, en 270, aurait été exécuté par l’empereur à cause de ses croyances.

 

Selon l’Encyclopédie catholique, au moins trois saint Valentin différents, tous martyrs, sont mentionnés dans le martyrologe à la date du 14 février. L’un aurait été prêtre à Rome, l’autre évêque d’Interrama (la Terni moderne). Ces deux personnes semblent avoir été martyrisées dans la deuxième moitié du IIIe siècle et avoir été enterrées le long de la voie Flaminienne, mais à des distances différentes de la ville d’un troisième saint Valentin qui aurait, lui, souffert en Afrique avec un certain nombre de ses compagnons. On ne sait rien de plus. Des biographies de plusieurs hommes différents appelés Valentin ont été fusionnées pour obtenir un seul saint Valentin «officiel».

 

L’église a poussé le «blanchiment» des Lupercales encore plus loin : au lieu de mettre les noms des jeunes filles dans des boîtes, ce furent désormais des noms de saints qui furent tirés, à la fois par les garçons et les filles. Il était ensuite du devoir de chaque personne d’émuler[2] la vie du saint dont le nom avait été puisé dans la boîte. Il s’agissait là d’une autre tentative de Rome pour blanchir une observance païenne en la christianisant. Or Dieu n’a jamais donné à l’homme l’autorité ou le pouvoir de faire une telle chose. Bien que l’église de Rome ait banni la loterie sexuelle, les jeunes hommes continuèrent d’en pratiquer une version atténuée en envoyant aux femmes qu’ils dési­raient des messages romantiques contenant le nom de saint Valentin.

 

Au fil des siècles, les cartes de la Saint-Valentin sont devenues populaires, spécialement à la fin du XVIIIe et au début du XIXe siècles. Ces cartes étaient ornées de cupidons et de cœurs, et méticuleusement décorées avec de la dentelle, de la soie ou des fleurs.

 

Le premier homme du nom de Valentin

Mais qui était le Valentin original et que signifie ce prénom?

 

Valentin vient du mot latin Valentinus, qui vient lui-même de valens (être fort, puissant, imposant). La Bible décrit un homme qui possède un titre semblable : Cusch engendra aussi Nimrod; c’est lui qui commença à être puissant sur la terre. Il fut un vaillant chasseur devant l’Eternel; c’est pourquoi l’on dit : Comme Nimrod, vaillant chasseur devant l’Eternel (Gen. 10 : 8-9). On dit qu’il chassait avec l’arc et les flèches.

 

Comme mentionné plus haut, les Romains célébraient les Lupercales afin d’honorer le dieu de la chasse, Lupercus. Pour les Grecs, de qui les Romains avaient copié la majorité de la mythologie, Lupercus était connu sous le nom de Pan, le dieu de la lumière. Les Phéniciens adoraient le même dieu sous le nom de Baal, le dieu soleil. Baal était un des nombreux noms ou titres de Nimrod, un vaillant chasseur, particulièrement de loups. Il fut aussi le fondateur et premier maître de Babel (selon Gen. 10 : 10-12). Défiant Dieu, Nimrod fut à l’origine de la religion à mystères de Babylone dont la mythologie a été copiée par les Egyptiens, les Grecs, les Romains et une multitude d’autres peuples anciens. Sous des noms ou des titres différents – Pan, Lupercus, Saturne, Osiris – Nimrod est l’homme fort, le vaillant chasseur-guerrier, dieu des anciens.

 

Mais qu’est-ce que le symbole du cœur a à faire avec le fait d’honorer Nimrod / Valentin?

 

Le titre Baal signifie «seigneur» ou «maître» et celui-ci est mentionné dans toute la Bible comme étant le dieu des païens. Dieu a averti son peuple de ne pas adorer, ni même tolérer les voies de Baal (Nimrod). En ancien chaldéen (la langue des Babyloniens), bal, qui est semblable à Baal, signifie «cœur». Voilà d’où provient le symbole du cœur.

 

Notez maintenant le nom de Cupidon. Il provient du verbe latin cupere, signifiant «désirer». Cupidon était le fils de Vénus, la déesse romaine de la beauté et de l’amour. Aussi connu sous le nom d’Eros chez les Grecs, il était le fils d’Aphrodite. Selon le mythe, il était responsable d’avoir fécondé un grand nombre de déesses et d’êtres mortels. Cupidon était un archer à l’allure d’enfant (rappelez-vous que Nimrod était archer). La mythologie décrit Cupidon comme pourvu d’une personnalité à la fois cruelle et enjouée. Il utilisait ses flèches invisibles dont l’embout était en or, pour frapper les femmes et les hommes sans méfiance, les faisant tomber follement amoureux. Il ne faisait pas cela pour leur bénéfice, mais bien pour les rendre fous de passion avec le dessein de rendre leur vie misérable et de se moquer d’eux.

 

Plusieurs des dieux des Egyptiens, des Grecs, des Romains, des Assyriens et d’autres peuples ont pris pour modèle un seul homme : Nimrod.

 

Quel est le rapport avec nous aujourd’hui et pourquoi nous préoccuper du passé?

 

Ce que Dieu en pense

Voici ce que Dieu commande à son peuple en ce qui concerne les pratiques et les traditions païennes. (…) N’imitez pas la voie des nations, et ne craignez pas les signes du ciel, parce que les na­­tions les craignent. Car les coutumes des peuples ne sont que vanité (Jér. 10 : 2-3a). Voyez aussi les paroles du Christ dans Mat. 15 : 9 : C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.

 

Partout dans la Bible, Dieu décrit les païens comme ceux qui adorent les choses qu’il a créées (les animaux, le soleil, la lune, les étoiles, les arbres, etc.) ou des idoles faites de mains d’hommes, ou toute autre chose que lui. Il qualifie ces personnes et leurs pratiques de «païennes». Les vrais chrétiens savent que Dieu hait toutes les coutumes, pratiques et traditions dont l’origine est païenne.

 

Dieu prend-il vraiment le paganisme au sérieux?

 

Lorsqu’il sauva les douze tribus d’Israël d’un esclavage brutal et les fit sortir d’Egypte, il leur commanda : Vous ne ferez point ce qui se fait dans le pays d’Egypte où vous avez habité, et vous ne ferez point ce qui se fait dans le pays de Canaan où je vous mène : vous ne suivrez point leurs usages (Lév. 18 : 3). Dieu exigea des Israélites de ne pas se souiller par les pratiques et coutumes païennes des nations environnantes (selon les versets 24-29). Vous observerez mes comman­dements, et vous ne pratiquerez aucun des usages abominables qui se pratiquaient avant vous, vous ne vous en souillerez pas. Je suis l’Eternel, votre Dieu. Lév. 18 : 30

 

(…) Comment Israël répondit-il à Dieu? Nos pères en Egypte ne furent pas attentifs à tes miracles, ils ne se rappelèrent pas la multitude de tes grâces, ils furent rebelles près de la mer, près de la mer Rouge (…) Ils firent un veau en Horeb, ils se prosternèrent devant une image de fonte. Ils échangèrent leur gloire contre la figure d’un bœuf qui mange l’herbe. Ils oublièrent Dieu, leur sauveur, qui avait fait de grandes choses en Egypte, des miracles dans le pays de Cham, des prodiges sur la mer Rouge (…) Ils s’attachèrent à Baal-Peor, et mangèrent des victimes sacrifiées aux morts. Ils irritèrent l’Eternel par leurs actions. Ps. 106 : 7, 13‑14 / 19-22 / 28-29

 

Dieu ordonna explicitement à Israël d’expulser et détruire toutes les nations qui occupaient la Terre promise (Canaan). Par-dessus tout, son peuple ne devait faire aucune alliance avec elles, telle que se marier avec ses habitants (selon Deut. 7 : 1-3, 5, 16), car ils détourneraient de moi tes fils, qui serviraient d’autres dieux. Deut. 7 : 4

 

Mais les Israélites se croyaient meilleurs que Dieu. Ils dé­cidèrent d’agir à leur façon : Ils ne détrui­sirent point les peuples que l’Eternel leur avait ordonné de détruire. Ils se mêlèrent avec les nations, et ils apprirent leurs œuvres. Ils servirent leurs idoles, qui furent pour eux un piège; ils sa­cri­fièrent leurs fils et leurs filles aux idoles, ils répandirent le sang innocent, le sang de leurs fils et de leurs filles, qu’ils sacrifièrent aux idoles de Canaan, et le pays fut profané par des meurtres. Ils se souillèrent par leurs œuvres, ils se prostituèrent par leurs actions. Ps. 106 : 34-39

 

(…) Les Israélites furent sévèrement punis pour avoir désiré suivre les coutumes, les rituels, les traditions et les pratiques païennes. Dieu ne prend pas le paganisme à la légère.

 

Pourquoi le paganisme est mauvais

Pourquoi au juste Dieu déteste-t-il tout ce qui ressemble aux coutumes païennes? Est-il possible de «blanchir» en les «christianisant» des pratiques païennes et les rendre pures? Est-ce correct d’adopter des pratiques païennes aussi longtemps que l’on adore Dieu en parallèle?

 

En Lévitique 18, après avoir délivré les Israélites de l’esclavage, Dieu les a prévenus de ne pas pra­tiquer les coutumes qu’ils avaient connues en Egypte et de ne pas apprendre les voies, coutumes et traditions des nations païennes qu’ils rencontreraient dans le pays de Canaan (selon les ver­sets 1 à 3). En lieu et place, Dieu commanda à Israël de suivre ses voies (selon les versets 4-5).

 

Dieu décrit ensuite en détail les vies païennes de ces nations. Aux versets 7 à 20, il condamne toutes sortes de pratiques hétérosexuelles qui sont hors des limites du mariage : l’inceste, la fornication, l’adultère, etc. Aux versets 22-23, Dieu proscrit l’homosexualité et la bestialité. Tous ces péchés brisent et détruisent la famille que Dieu a créée et instituée avec amour.

 

Notez ce à quoi Dieu rattache ces perversions. Tu ne livreras aucun de tes enfants pour le faire passer à Moloc, et tu ne profaneras point le nom de ton Dieu. Je suis l’Eternel (Lév. 18 : 21). Dieu lie ces pratiques sexuelles perverses des nations païennes aux sacrifices humains – des parents qui offraient leurs enfants aux dieux païens.

 

La Bible nous montre que non seulement Israël a désobéi à Dieu et a embrassé de tout cœur l’immoralité sexuelle des païens, mais qu’il est allé encore plus loin.

 

Ils m’ont tourné le dos, ils ne m’ont pas regardé; on les a enseignés, on les a enseignés dès le matin; mais ils n’ont pas écouté pour recevoir instruction. Ils ont placé leurs abominations dans la maison sur la­quelle mon nom est invoqué, afin de la souiller. Ils ont bâti des hauts lieux à Baal dans la vallée de Ben-Hinnom, pour faire passer à Moloc leurs fils et leurs filles : Ce que je ne leur avais point ordonné; et il ne m’était point venu à la pensée qu’ils commettraient de telles hor­reurs pour faire pécher Juda. Jér. 32 : 33-35

 

Imaginez-vous : Israël a commis un péché si vil, si dégoûtant, que même Dieu en a été choqué.

 

Mais tout cela se passait à cette époque. Qu’en est-il de notre époque? Assurément, de nos jours, les parents ne sacrifient plus leurs enfants aux dieux païens… N’en soyez pas si sûrs. Peut-être leurs vies ne sont-elles pas sacrifiées, mais qu’en est-il de leur innocence?

 

Les parents d’aujourd’hui s’attendent à ce que leurs petits «tombent amoureux» et aient des «amoureux et des amoureuses». Ils trouvent cela mignon lorsque de petits garçons et petites filles se tiennent la main et agissent comme un couple, en s’échangeant un baiser ou deux en cachette. Certains s’inquiètent même lorsque leurs enfants ne montrent pas d’intérêt pour le sexe opposé. Ils ne cessent de leur demander : «as-tu un petit ami?» ou «qui est ta petite amie?»

 

Pourtant, ces mêmes parents sont surpris lorsque leur adolescente tombe enceinte, contracte une maladie sexuellement transmissible ou avorte en cachette.

 

La Saint-Valentin n’est qu’un des nombreux outils que le dieu de ce monde (selon II Cor. 4 : 4) utilise afin d’amener les parents à sacrifier l’innocence de leurs enfants.

 

Lorsque les jeunes garçons et les jeunes filles tirent au hasard leurs noms et s’envoient des cartes de Saint-Valentin et des cadeaux en se déclarant leur amour, ils sont en train d’apprendre les premières étapes des relations intimes que le Créateur a conçues spécifique­ment pour des adultes matures. Au lieu de vivre leur jeunesse dans l’innocence (…), on enseigne aujourd’hui à nos enfants à se désirer les uns les autres, et ils en arrivent aux drames des : «si tu m’aimais, tu coucherais avec moi»; «je suis enceinte»; «ce n’est pas mon enfant»; «elle a avorté». Au moment d’atteindre l’âge adulte, il ne reste pratiquement plus aucune trace d’innocence, de sincérité ou de décence morale en eux. Ils sont abattus, ils ont les attitudes blasées du monde : «j’ai déjà été là, j’ai déjà fait ça», etc. Et leur vie ne fait que commencer!

 

Voilà pourquoi nous vivons dans un monde où une adolescente encore vierge est un phénomène rare. Ce qu’on appelait autrefois le concubinage et vivre dans le péché s’appelle tout simplement aujourd’hui «vivre ensemble». Les relations sexuelles ne sont rien de plus qu’une récréation physique sans attaches émotionnelles, sans soucis ni préoccupations. Les gens changent de partenaire sexuel comme on change de vêtements. D’autres, non mariés, dans la vingtaine ou la trentaine ont déjà eu cinq partenaires sexuels – et cela est considéré comme un chiffre peu élevé, spécialement aux Etats-Unis. Les hommes ne se font plus appeler «mari» ou «fiancé» mais «le père de mon deuxième enfant».

 

Quelle tristesse!

 

Satan a séduit le monde entier (selon Apoc. 12 : 9) et de multiples façons, tout particuliè­rement en ce qui concerne les relations intimes. Le jour de la Saint-Valentin n’est qu’un de ses outils de séduction.

 

Sortez du milieu d’elle, mon peuple

En ce qui concerne le proche avenir, alors que ce monde influencé par Satan est à la veille de s’écrouler, Dieu déclare : (…) Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l’impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. Apoc. 18 : 2b-3

 

Concernant ce système païen et satanique, Dieu ordonne aux vrais chrétiens : (…) Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux. Apoc. 18 : 4b

 

La Saint-Valentin provient du paganisme antique; de ce monde influencé par Satan. Elle a été inventée afin de tromper l’humanité en faisant appel aux désirs charnels ou, comme la Bible les appelle, aux œuvres de la chair. Or, les œuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, (…) l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. (Gal. 5 : 19, 21a). Ces choses ne vous font-elles pas penser aux Lupercales?

 

En dernier lieu, (…) ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume de Dieu (Gal. 5 : 21b). Un vrai chrétien se concentre sur le royaume de Dieu (selon Mat. 6 : 33) (…) et non sur les désirs charnels de ce monde. Un véritable chrétien doit s’efforcer de se dépouiller du «vieil homme» et suivre l’exemple parfait et juste de Jésus-Christ. Il sait qu’il doit prendre la décision de sortir de ce système mondain rempli de coutumes, de traditions et de pratiques païennes.

 

Les chrétiens ne célèbrent pas la Saint-Valentin!

 

 

Source principale : connue de la rédaction

Compilation et mise en forme : APV

Date de parution sur www.apv.org : 26.02.18

 

 

[1] Prêtresses de Vesta, vouées à la chasteté et chargées d’entretenir le feu sacré.
© 2017 Dictionnaires Le Robert – Le Grand Robert de la langue française

[2] Essayer de surpasser ou d’égaler (qqn), se faire l’émule* de (qqn).

© 2017 Dictionnaires Le Robert – Le Grand Robert de la langue française

Article écrit par Sans auteur

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