John Alexander Dowie – Un résumé de sa vie (1847-1907)

Enseignements à retirer de la vie de ce serviteur de Dieu hors pair et biographie abrégée : son enfance, sa formation, son profil, la révélation qu'il a reçue du Seigneur, son ministère puissant de guérison et ce qui était au cœur de son enseignement.
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Table des matières

John Alexander Dowie : Un résumé de sa vie (1847-1907)

Introduction

John Alexander Dowie a prêché un message sans compromis du salut en Jésus-Christ, de la sainteté pratique et de la guérison divine. Il a été un pionnier pour la défense du droit de prier pour les malades au nom de Jésus, même si ce droit nous paraît aujourd’hui évident. Des milliers de personnes ont été sauvées et miraculeusement guéries par son ministère. Dowie a été le père spirituel de nombreux serviteurs de Dieu qui ont bouleversé le monde.

 

Sa biographie

Son enfance

John Alexander Dowie est né à Edimbourg, en Ecosse, le 25 mai 1847. Son père était tailleur et prédicateur à temps partiel. Il fut souvent malade, au point qu’à plusieurs reprises ses parents crurent qu’il allait mourir. De ce fait, il manqua beaucoup l’école. Néanmoins, il était particulièrement bril­lant, si bien qu’à 6 ans, il était déjà capable de lire toute la Bible. A l’âge de 7 ans, il entendit l’appel de Dieu lors d’une réunion et se convertit. Comme il était curieux, il vou­lut connaître la signification de son nom. Ses parents le renvoyèrent à un dic­tion­naire biblique, et il découvrit que John Alexander signifie «par la grâce de Dieu» et «une aide des hommes». Cette découverte fit une profonde impres­sion sur lui et elle devint une devise pour sa vie.

 

Sa formation à Edimbourg

Lorsqu’il avait 13 ans, ses parents déménagèrent en Australie. Il travailla dans l’usine de son oncle. Son ingéniosité et sa perspicacité l’amenèrent, à l’âge de 21 ans, à occuper le poste de responsable de l’entreprise familiale très florissante, avec un très bon salaire. En dépit d’une carrière profession­nelle prometteuse, il savait qu’il avait été appelé par Dieu à être une aide des hommes. Il retourna à l’Université d’Edimbourg pour y étudier la théologie afin de se préparer à l’appel qu’il y avait sur sa vie. Durant sa formation, il exerça un travail pratique de service à l’infirmerie d’Edimbourg, en tant qu’aumônier laïc. Désireux d’acquérir le plus de connaissances possible dans tous les do­maines, il participa aux conférences et aux colloques des plus grands médecins. Il fut autorisé à assister à de nombreuses opérations et put souvent observer leurs résultats tragiques. Les choses qu’il vit et entendit lui apportèrent des connaissances sur l’anatomie et les maladies, qui lui furent plus tard très utiles pour prier pour les malades. Il fut également confronté de première main avec les croyances médicales, les pratiques douteuses d’un certain nombre de chirurgiens et leurs diagnostics erronés. Ces observations contribuèrent à forger en lui une position très tranchée sur la médecine et la pharma­cologie.

 

La révélation

Après deux ans à Edimbourg, il retourna en Australie, travailla deux ans dans les affaires, puis se fit ordonner pasteur dans une église congrégationaliste[1]. C’est aussi à cette période qu’il épousa Jane, qui fut sa compagne et son aide durant une grande partie de sa vie. Les Dowie eurent trois enfants : Gladstone (1877-1945), Jeanie (1879-1885) et Esther (1881-1902).

 

Il passa beaucoup de temps dans la méditation et l’étude de la guérison divine. Il voulait comprendre et expérimenter la pro­fondeur de la rédemption en Jésus-Christ, incluant le salut et la guérison physique. A cette époque, une terrible épidémie de peste s’abattit sur Sydney (ci-contre) faisant des ravages ca­­tas­trophiques. C’est alors qu’un événement spirituel marqua un tournant décisif dans la vie de Dowie.

 

Voici un extrait de ce qu’il écrivit à ce sujet : «J’étais assis dans mon bureau. Mon cœur était vraiment lourd car j’avais visité les malades et les mourants de mon troupeau et, en deux semaines, j’en avais enterré plus de quarante. Où, mais où était celui qui guérissait ses enfants malades? Aucune prière pour la guérison ne semblait atteindre ses oreilles et pourtant, je savais que sa main n’était pas trop courte. Et même, il n’avait pas épargné de la mort ceux dont la vie était consacrée à Dieu et aux autres : des hommes forts, des pères, de bons citoyens… Il y avait aussi des chrétiens fidèles, atteints d’une horrible fièvre, souf­frant une agonie sans nom, entrant dans des délires, avec parfois des convulsions… Et que de douleurs dans les cœurs des veuves et des orphelins! Il me semblait parfois entendre les moqueries des démons, ricanant alors que je prononçais des paroles chrétiennes pour consoler ceux qui restaient. La maladie, l’infecte progéniture de son père, Satan, et de sa mère, le péché, était en train de détruire les temples terrestres des enfants de Dieu, et il n’y avait pas de libérateur!»

 

Nous voyons ici un Dowie dans une situation extrême. Il était au bord du précipice et dans le désespoir. Il voyait que les choses ne se passaient pas comme elles devaient se passer, et il osa analyser ce fait devant Dieu! C’est dans ce désespoir que le Saint-Esprit le visita et illumina pour lui Actes 10 : 38 : vous savez comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du diable, car Dieu était avec lui.

 

Dowie écrivit : «Je priais pour entendre quelques mots de la part de Dieu. Puis les paroles inspirées du Saint-Esprit en Actes 10 : 38 se dressèrent devant moi toutes resplendissantes de lumière, révélant Satan comme le profanateur, et Christ comme le guérisseur. Mes larmes furent essuyées, mon cœur fortifié, je vis le chemin de la guérison, la porte qui était largement ouverte et je dis : “Dieu, aide-moi maintenant à prêcher la Parole à tous les mourants autour de moi, à leur dire comment Satan détruit encore et comment Jésus délivre encore car il est le même aujourd’hui.”»

 

On frappa à la porte et on lui demanda de venir prier pour la jeune Marie, également atteinte par cette épidémie. Dowie se rendit auprès d’elle, rempli de colère et de haine contre cette terrible maladie. Il était littéralement déchaîné et, dans son excitation, criait : «Cette cru­auté n’est pas de la volonté de Dieu et je ne laisserai jamais dire que la volonté de Dieu soit faite dans les œuvres du diable!» Les mots d’Actes 10 : 38 brûlaient dans son cœur. Il partit en courant vers la mou­rante. Il était comme un berger ayant appris que sa brebis était déchirée par un loup. Il pria pour elle et elle fut guérie. Puis son frère qui se mourait dans la pièce d’à côté reçut aussi la guérison. Ce jour-là, il enterra encore deux défunts, morts deux jours auparavant. Mais ensuite, il ne fit des obsèques que pour cinq personnes, durant les douze années suivantes de son ministère en Australie, pratiquant la guérison auprès de milliers et de milliers de personnes.

 

Son ministère aux USA

Suite à cette expérience spirituelle, Dowie quitta le pastorat et devint un évangéliste de guérison à plein temps. En 1888 (41 ans), il émigra aux USA avec sa famille. Ils s’installèrent d’abord dans un hôtel à San Francisco. Beaucoup de monde venait les voir pour recevoir la guérison. Parfois Dowie refusait de prier pour certaines personnes de la haute société – qu’il appelait «des oiseaux bien plumés avec un cœur pollué» (ci-contre), en référence à leurs chapeaux fantaisistes – parce qu’elles cherchaient la guérison pour leur corps mais ne voulaient pas se repentir de leurs péchés.

 

En 1890, Dowie déplaça ses bureaux à Chicago. Il y construisit une salle de réunion de quatre-cents places, que l’on appela «la petite cabane de bois». Elle se situait à un endroit stratégique et de grand passage, juste à côté de l’entrée de l’Exposition universelle de Chicago [1893]. La renommée de Dowie et les guérisons de personnalités politiques (p. ex. : nièce du colonel W. F. Cody, le cousin d’Abraham Lincoln) furent la cause de l’af­fluence aux réunions de «la petite cabane de bois». Les gens guéris y laissaient leurs béquilles et autres attelles qui ser­vaient de témoignages. Dowie recevait jusqu’à trois-mille lettres de demandes de prière par semaine. Comme les gens venaient de loin et avaient besoin de formation dans la Parole, Dowie ouvrit en 1894 la première maison de guéri­son. Il y tenait deux fois par jour des services de louange et d’enseignement pour fortifier la foi.

 

Dès 1894, il commença à publier un journal hebdomadaire intitulé Leaves of Healing («Feuilles de guérison»), qui était distribué à des milliers d’exemplaires. Ce journal contenait des enseignements, faisait la promotion de la guérison divine et présentait des témoi­gnages confirmés de guérisons (le nom du médecin qui les avait attestées était cité). La congrégation de Dowie s’investit également beaucoup dans l’aide sociale, ce qui eut un impact majeur sur une ville notoirement corrompue.

 

1895 fut une année particulièrement épuisante en raison des persé­cu­­tions juridiques. En effet, une avalanche de plaintes fut dépo­sée contre Dowie et sa mission. Durant cette année-là, il fut arrêté plus de cent fois, et incarcéré plusieurs jours avec une personne atteinte de variole dans le but de l’éliminer par la maladie. Il dut aussi lutter contre une opposition débordante, une presse hostile, des officiels antagonistes, des hommes de loi peu scrupuleux qui usaient de toutes leurs compétences pour l’arrêter. Il combattit et réussit à faire maintenir le droit de prier pour les malades. Ce succès sans équivoque ne fut pas seulement d’ordre personnel, mais il obtint le droit incontestable de prier pour les malades pour les ministres du Seigneur de tout le pays, remportant ainsi une victoire permanente pour le royaume de Dieu. Ce succès juridique eut pour effet de développer la popularité de Dowie, en sorte que la «petite cabane en bois» devint rapidement trop petite.

 

Dès 1895, Dowie loua le plus grand auditorium de Chicago, où se réunissaient chaque dimanche plusieurs milliers de per­sonnes. La «décoration», comme dans la «petite cabane en bois», était faite de béquilles des personnes guéries, ce qui était un puissant encouragement pour la foi.

 

En 1896, Dowie décida d’institutionnaliser ses enseigne­ments sur le salut, la guérison et la sanctification. Il créa une nou­velle déno­mination : la Christian Catholic Church, qui n’avait au­cune relation avec l’Institution catholique ro­maine, «catholique» signi­­fiant «universel». Au travers de cette œuvre, il envoya des mis­sionnaires dans plusieurs villes à évangéliser, mais aussi dans de nombreux pays dans le monde.

 

La Cité de Sion

Le désir de Dowie était de construire une cité sans tabac, sans liqueur, sans bars, sans médicaments, sans théâtres, sans salles de danse, bref, une ville où l’on pourrait mener une vie en communauté sans péchés, la ville de rêve, selon la vision chrétienne. Etant donné les circonstances, c’est dans le plus grand secret que les plans pour la construction de la Cité de Sion furent dessinés. En 1899, on acheta dans le plus grand silence 6600 acres (2671 ha ou 26,7 km2) de terrain et de fermes. Lorsque les plans de la cité furent dévoi­lés, l’idée d’une ville propre, sans déchéance et sans influences mal­saines devint un besoin en quelques secondes. En 1905, elle comptait plus de dix-mille résidents.

 

La fin de sa vie

Dès 1900, à partir de sa déclaration solennelle qu’il était Elie, quelque chose de fondamental chan­gea dans la nature de John Alexander Dowie. Il serait facile et très réducteur de penser qu’il ait perdu la raison, et je n’oserais pas porter un tel jugement sans prendre en considération les points suivants, tirés du livre de Gordon Lindsay, John Alexander Dowie : A life story of trials, tragedies and triumphs («John Alexander Dowie : une histoire de vie, d’épreuves, de tragédies et de triomphes»)[2] :

  • Quelques années auparavant, des personnes l’avaient approché avec ce qu’elles prétendaient être une révélation directe de Dieu. Elles affirmaient solennellement que l’homme à qui elles parlaient (Dowie) n’était autre que l’Elie qui devait venir juste avant le retour du Seigneur. Dowie les renvoya sans ménagement et les avertit de ne jamais revenir. Selon son propre témoignage, il ne put jamais se débarrasser complètement de cette idée.
  • Dans les jours d’adversité, Dowie avait appris à s’appuyer exclusivement sur Dieu. Mais le succès venu, quand des milliers de personnes l’idolâtraient presque, il ne ressentit apparemment plus aussi fortement ce besoin. Il laissa donc les activités séculières lui prendre tout son temps de res­­sour­cement.
  • Le travail est une vertu, mais elle peut devenir un péché contre son propre corps. Dowie, dans la force de l’âge, travaillait sept jours sur sept. Il n’était pas rare qu’il travaillât quarante-trois heures d’affilée. Le dimanche, il prêchait jusqu’à neuf heures de suite. Ce train de vie contribua gran­dement à l’affaiblissement de sa santé physique et nerveuse.
  • Les luttes incessantes, les procès, les débats contradictoires lui permirent de remporter de grandes victoires, mais l’usèrent aussi. (Ci-contre, une caricature insultante publiée en 1904.)
  • Dowie n’avait pas l’habitude de prendre conseil sur des ques­tions importantes auprès d’autres personnes. Mais il faut noter qu’il se trouvait presque seul dans son combat pour la guérison divine car beaucoup de ministres étaient opposés aux grandes vérités de l’Evangile comme la guérison divine.

 

Cette déclaration d’Elie marqua donc un tournant négatif dans son ministère. Beaucoup de ses fidèles perdirent confiance en lui. Cette période de prospérité financière produisit également un chan­ge­­ment d’un autre type chez son épouse Jane. Elle commen­ça à devenir très extravagante. Elle s’achetait des robes coûteuses à Paris et se parait de magnifiques coiffures. Elle ne fut plus l’aide dont son mari aurait eu besoin. Un événement dramatique vint encore donner un coup de grâce à la santé de Dowie : en 1902, sa fille Esther, qu’il chérissait tant, mourut accidentellement.

 

En 1905, lors d’une réunion, John Alexander Dowie fut atteint d’un AVC (accident vasculaire céré­bral) dont il ne se remit jamais bien. Il mourut en 1907. Son œuvre fut reprise par certains de ses fidèles collaborateurs, mais la puissance qu’il avait ne fut plus la même.

 

Par le ministère de Dowie, des dizaines de milliers de personnes sont devenues des disciples fidèles du Seigneur et ont reçu de merveilleuses guérisons. Il a été le père spirituel et le mentor de nombreux serviteurs de Dieu de la guérison tels que John G. Lake, Charles F. Parham, F. F. et son frère B. B. Bosworth, Gordon Lindsay, Phineas D. Yoakum, Raymond T. Richey, qui eurent tous un impact mondial dans le domaine de la guérison.

 

Son profil

John Alexander Dowie était décrit comme «un petit homme qui avait : la tête d’un philosophe, la barbe d’un prophète, les épaules d’un déménageur de piano, la panse d’un conseiller municipal et les jambes d’un jockey».

 

Voici quelques-unes de ses caractéristiques :

  • Intelligent : à 6 ans, il était capable de lire la Bible en entier.
  • Autodidacte et observateur : il a peu fréquenté l’école, car souvent malade, mais il aimait apprendre et apprenait vite. Il acquit des connaissances médicales en plus de sa formation théo­logique qui lui furent plus tard très utiles pour prier pour les malades.
  • Ingénieux et perspicace : il fit prospérer l’entreprise de son oncle et développa des entreprises innovantes dans la Cité de Sion.
  • Compétences hors du commun : en droit, en ingénierie, en écriture, en parole, en marketing.
  • Caractère : honnête, combatif pour la justice.
  • Indépendant : il travaillait seul, prenait toutes les décisions.
  • Visionnaire : il voyait déjà les possibilités de prêcher à trois-cent-mille personnes à la fois, avec une technologie d’avenir qui s’appellerait la radio. Il avait compris que la technologie de l’élec­tricité serait développée au point de montrer des images vivantes à distance. La télévision ne deviendra populaire que quarante ans plus tard.
  • Prophète : comme les prophètes de l’Ancien Testament, il combattait le péché sous toutes ses formes.
  • Apôtre : un constructeur, un pionnier.
  • Travailleur : parfois il travaillait quarante-trois heures d’affilées.
  • Une détermination extrême.

 

Son enseignement

Force et puissance de sa prédication

La révélation d’Actes 10 : 38 fut la force de son ministère et de sa prédication : vous savez comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du diable, car Dieu était avec lui.

 

Dowie fut réellement oint du Saint-Esprit et de force (puissance). Il alla en tout lieu (en Australie et aux USA) et fit du bien en guérissant les malades, selon la signification de son nom, John Alexander : «par la grâce de Dieu, une aide pour les hommes». Il se battit contre le diable, le péché et toutes ses sources et guérit une multitude de conséquences du péché. Pour faire tout ce qu’il fit, il est évident que Dieu était avec lui.

 

Prédication de la repentance

L’un des principes-clés enseigné par Dowie fut que la guérison est «le pain des enfants» (selon Mat. 15 : 22-28), illustrant l’un des principes fondamentaux de son ministère. Par conséquent, il refu­sait de prier pour les malades jusqu’à ce qu’il fût certain qu’ils avaient satisfait aux conditions énoncées dans la Parole de Dieu, et surtout qu’ils s’étaient entièrement repentis de tout péché connu. Il considérait la conversion comme essentielle à la guérison. La repentance fut l’un des principaux thèmes de ses sermons.

 

Cette caractéristique du ministère de Dowie fut considérée par les observateurs impartiaux de son travail, ainsi que par ses partisans, comme l’une des principales raisons de son succès continu dans la prière pour les malades. En outre, cette insis­tance sur la repentance complète, comprenant la resti­tution dans la mesure du possible, engendra une multitude de chré­tiens forts et fidèles. Un étudiant passionné des réveils aux Etats-Unis estima qu’environ 98% de ses convertis restèrent fidèles à Dieu, ce qui était nettement supérieur au «taux de fruit» de tout autre évangéliste de son temps.

 

Quelques extraits de ses sermons

«La maladie ne vient pas de Dieu. Sinon on pourrait dire : Oh, Dieu, voici un homme avec la tuber­culose au pied, donnez-lui la tuberculose à l’autre pied.»

 

«Je déteste le péché, la maladie et la mort d’une haine intense. Je vais mourir en combattant les œuvres du diable. Je déteste la maladie. C’est une chose qui me tient dans le ministère : je déteste la tuberculose, je déteste voir les poumons d’un homme fort creusés par le diable, je déteste voir une chère vieille maman torturée de rhumatismes dans les derniers jours de sa vie qui devraient être paisibles et heureux. Je déteste la maladie. Je déteste la maladie d’une haine parfaite. Cette haine a été mise dans mon cœur par Dieu. Dieu hait le péché.»

 

«L’œuvre du diable ne peut jamais être la volonté de Dieu.»

 

«Si nous voulons retrouver la puissance primitive, bien-aimés, nous allons devoir aller plus loin et revenir à une organisation primitive, à une foi primitive, à la simplicité primitive, à la pureté de vie primitive; la puissance primitive découlera de tout cela.»

 

 

Dominique Schaller

Message de la plénière du 20.12.16, Siviriez

Sources : Sites internet Healing and Revival

Leaves of Healing – The Apostle of Divine Healing

Leaves of Healing – A life of trials, tragedies, and triumphs

Leaves of Healing – The message

Adaptation de l’anglais, compilation, rédaction et mise en forme : APV

Date de parution sur www.apv.org : 30.01.17

 

 

[1] Le congrégationalisme est, dans une large mesure, un système d’organisation qui se trouvait dans l’Eglise primitive, selon le modèle biblique : autonomie des églises locales entre elles, autorité de Jésus-Christ seul sur son Eglise, par opposition au système d’autorité ecclésiale institué par l’Institution romaine et à tout contrôle ou ingérence de l’Etat.

[2] Gordon Lindsay, John Alexander Dowie : A life story of trials, tragedies and triumphs, Editions Christ for the Nations, 1980.

Article écrit par Schaller Dominique

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