Le débat sur le danger des téléphones portables date du début des années nonante. On a d’abord pensé qu’il s’agissait d’une rumeur de ceux qui refusent le progrès pour empêcher les industriels de travailler tranquillement. Aujourd’hui, on en est presque aux certitudes.
Tant pour des questions d'interférences électromagnétiques que d'augmentation de capacité, le multiplexage fréquentiel se double d'un multiplexage temporel, la «pulsation», qui rend encore plus dangereuses les irradiations du cerveau par les hyperfréquences.
Un programmateur de signaux externes peut imposer son propre rythme au cerveau. Le comportement humain est fonction de sa programmation. S’il y a manipulation mentale elle peut être soit bénéfique, soit maléfique pour l’individu qui en est l’objet.
Ce taux indique la quantité de radiations absorbée par les tissus humains à proximité d'un téléphone mobile. Description des quatre catégories de personnes se faisant irradier de façon significative.
La technologie a transformé cette planète en un système ouvert de micro-ondes. Cet article est le compte rendu d'un livre qui expose en termes simples les effets du rayonnement de micro-ondes sur le corps humain.
Les ondes émises par le téléphone portable se situent dans la gamme des ultracourtes (micro-ondes). Lors d'une communication, l'appareil se trouve à 1 cm de notre cerveau, un organe d'une sensibilité extrême.
Effets des champs électromagnétiques sur les protéines de la membrane cellulaire, la modification du calcium cellulaire, les troubles du sommeil ou du comportement, les maux de tête, le cancer, etc.
Interpellations pour les chrétiens de se préoccuper des principes de vie énoncés dans la Parole de Dieu avant de solliciter des guérisons miraculeuses, et de considérer les solutions apportées par la médecine cellulaire.
Alors que le discours officiel va dans le sens de l’absence de dangerosité de cette nouvelle technologie, le texte ci-après présente des arguments scientifiques qui soulignent au contraire, sa nocivité avérée pour la santé.
Remise en question d'un scientifique spécialisé en biologie moléculaire sur l'existence même des virus et sur les enjeux et conséquences réels des alertes à l'«épidémie» telles que la grippe aviaire, etc.
L'auteur propose de considérer la maladie sous un autre angle. Elle est le signe d’un déséquilibre qui résulte, la plupart du temps, de comportements conscients ou inconscients de la part du malade; elle n’est donc pas une fatalité.
L'épicentre de la souche mortelle H5N1 de la grippe aviaire provient des fermes d'élevage industriel de Chine et d'Asie du sud-est, et non pas de la volaille de basse-cour. Il s'agit avant tout d'un problème de pratiques d'élevage industrielles...
Certains scientifiques examinent la question du VIH (SIDA) sous un autre angle. Ils soutiennent que celui-ci n'a jamais été isolé selon les critères de l'Institut Pasteur et qu'il est donc probablement un rétrovirus endogène.
Les petits élevages avicoles et les oiseaux sauvages sont injustement rendus responsables du fléau, alors que l'industrie avicole multinationale est à l'origine du problème et devrait être au centre des actions menées pour maîtriser le virus.